Le Post de cette édition
Information VS narration
- Les données brutes sont indigestes pour l’être humain.
- Les présentations orales nécessitent de les transformer au préalable.
Nous accumulons tous de la donnée ! De la data. Brute. Des chiffres, des pourcentages, des évolutions chiffrées d’une année sur l’autre, des résultats, etc. Les données brutes sont indigestes pour un être humain. Nous ne sommes pas des ordinateurs, capables d’analyser et d’interpréter ces données dans leur forme première. Devant des kilomètres de tableaux et de chiffres alignés, nous rendons les armes !
La différence entre la donnée brute, la data et quelque chose de digeste, un message perceptible et compréhensible : les histoires. Cette aptitude à transformer les données brutes en histoires est sans doute la plus précieuse et la moins enseignée qui soit ! Il ne s’agit pas d’un talent ! Personne n’est un narrateur-né ! Personne ne naît en capacité de raconter de belles histoires qui rallieront tout un auditoire à une opinion donnée. Cela s’apprend. Cela se pratique.
Les 2 et 3 juin prochains, nous aurons la chance de proposer le training “Winning Hearts and Minds / Captiver et Convaincre – Partie 1 : Présenter avec confiance” en session interentreprises. Cela ne se produira qu’une fois cette année à Paris (mais deux sont prévues à Londres : 9 & 10 septembre, 4 et 5 novembre) ! Si vous êtes de ceux qui voulez enfin développer cette aptitude narrative et vos facultés d’oratrice ou d’orateur, il est temps de vous inscrire à ce training !
Cliquez ici pour avoir plus de renseignements ! Et entrez dans l’univers de ceux qui transforment le plomb (la donnée brute) en or (votre message perceptible et inspirant pour tous !) Les inscriptions ouvrent aujourd’hui ! Nous nous tenons prêts à vous accueillir !
Et quoi d’autre ailleurs ?
Attachement VS efficience
- Les orateurs se demandent toujours comment ils s’en sortent.
- Alors qu’ils devraient se demander comment le public s’en sort.
Peut-être êtes-vous le propriétaire d’une belle BMW ou de cette magnifique paire de Berluti ou encore d’une splendide montre Patek Philippe… Il est important d’être conscient d’une vérité si fondamentale, si essentielle qu’elle nous échappe souvent : nous ne sommes propriétaires de rien. Rien de toutes ces choses ne nous accompagnera lorsque nous redeviendrons poussière. Si certains parmi nous ont plaisir à faire l’acquisition de voitures, de vêtements, de montres, nous savons aussi que ces objets nous sont juste prêtés, ils ne sont pas à nous, pas vraiment. Si nous devions mourir demain, ils resteraient là, inertes et immobiles dans l’attente d’un nouveau locataire.
L’idée derrière tout cela est bien sûr de ne pas s’agripper aux objets, de ne pas se laisser posséder par eux. Ils nous accompagnent sur le bout de route qu’il nous est donné de faire sur cette terre. Rien de plus. Il est possible de les mépriser et de les voir comme des encombrants et d’opter pour une sobriété heureuse. Il est aussi possible de se laisser prendre par la main par la beauté ou la qualité de certains d’entre eux, mais de toujours garder sur eux un regard distant. Ils sont utiles, pratiques.
Ils ne sont pas à nous. Ils ne sont pas nous. Ils n’ont à donner que leur utilité. Le reste, ce qui est vraiment important, est en nous. Il est important de s’en souvenir, car ce qui ne nous est que prêté peut nous être repris en un instant. Il y quelque chose de relaxant dans ce détachement et dans cette invitation à la sobriété.
Une sobriété et un détachement qui ne manqueront pas de vous aider lors de vos prochaines présentations…
What’s in it for you?
Succès VS accomplissement
- Trois piliers de la réussite.
- Un critère pour la définir.
Si vous êtes de ceux qui ont un projet, le désir de porter quelque chose, voici trois prérequis pour vous aider à parvenir à vos fins.
Le premier : se concentrer sur ce que vous faites et non sur ce que cela vous rapportera. Votre mission n’est pas de gagner de l’argent. Votre mission est de contribuer, d’une manière ou d’une autre au monde, à ce qu’il est ou à ce qu’il va devenir. Le monde se moque de savoir si votre impact est positif ou négatif, cela est subjectif. Le monde se soucie de votre impact !
Le second : votre intention. Il ne s’agit pas de ce que vous faites, mais des raisons profondes qui vont conduisent ici. Pourquoi êtes-vous là ? Pourquoi ce désir ? Se soucier de “pourquoi” nous faisons les choses nous aide à ne pas rester au niveau du “quoi” et ne rester qu’à la surface de ce que nous souhaitons accomplir.
Le troisième : maintenir un niveau de confiance en soi suffisant et constant. C’est cette confiance qui va alimenter votre projet en énergie et vous aider à ne pas abandonner quand le moment sera venu d’en avoir envie. Parce que si votre projet en vaut la peine, il y a de fortes chances pour que son accomplissement demande des efforts et ne soit pas à la portée du premier venu. Qui dit efforts, dit difficultés et qui dit difficultés dit abandon ! La confiance en soi est le résultat d’une pratique. Elle se construit à partir des preuves et de vos réussites passées. C’est à vous d’en prendre soin et de vous assurer que ce niveau de confiance est bien au niveau de vos ambitions ! Cela demande de l’entraînement à la fois physique et mental.
Il importe aussi de se rappeler que “réussir” est une notion parfaitement subjective qui n’appartient qu’à vous et dont les référents sont aussi les vôtres. Il est parfaitement possible de réussir et de ne correspondre en rien aux clichés de réussites que notre société nous propose. La réussite a mille visages et c’est à vous et à vous seul d’estimer si vos résultats sont à la hauteur de ce que vous désirez.