Le Post de cette édition
Être bien accordé !
- Régulièrement, un instrument doit être accordé.
- Et notre corps est un instrument…
Les pianistes le savent, un jour où leur instrument nécessitera un accordage. Les cordes d’un piano subissent les assauts du temps, de la gravité, du climat et finissent par sonner « à côté » !
Vous l’aurez peut-être remarqué,mais il n’existe pour ainsi dire aucun pianiste qui sache accorder son instrument. Tous font appel à un professionnel. Lorsque le moment est venu, un coup de fil et se présente chez eux cet individu, sa clé et son oreille. Seul capable de réaliser une opération d’un tel niveau de complexité.
Parce qu’un piano est une machine complexe, il faut un spécialiste.
Vous êtes une machine complexe.
Qui s’occupe de vous accorder ? Qui s’assure que vous n’êtes pas « à côté » ? Si personne n’est venu jeter un coup d’œil « sous votre capot », il y a fort à parier que le temps, le stress, la pression, le climat (!) auront produit leurs effets sur votre esprit, votre intelligence de la situation, votre capacité à prendre les bonnes décisions. Et qu’avez-vous mis en œuvre pour en minimiser les effets ?
Vous avez besoin de formation ou de coaching. C’est aussi simple que cela. Vous avez besoin, comme nous tous, d’un spécialiste qui remet de l’alignement là, où par la force du vivant, le chaos tente de s’installer !
Pourquoi ne pas nous appeler ?
Trois savoir-faire difficiles à acquérir, mais qui vous seront utiles à vie !
- Nos contributions et nos succès sont liés à notre savoir-faire.
- Les plus importants de ces savoir-faire sont liés à la communication.
Il n’y a pas si longtemps, sur notre Terre, ne rien savoir faire, ou très peu, suffisait. Savoir chasser, savoir cueillir, savoir se défendre… L’humain n’est pas un être de savoir. Pas à sa source.
Les choses ont changé. Nous sommes devenus une espèce fabulatrice. Nous avons besoin de sens, de débuts, de milieux et de fins. Nous avons une représentation du monde faite de héros et d’accomplissements, de princesses libérées et de réussites. Nous avons l’argent qui mesure le succès ou le bonheur ! À cause de cela, nous vivons aujourd’hui dans un monde de savoir-faire. Nous nous définissons par notre contribution à la grande Histoire du Monde. Changer le Monde, vouloir le changer, c’est vouloir altérer son Histoire, c’est vouloir faire partie du grand narratif commun. Pour que l’on se souvienne de nous.
Le savoir-faire… Pour nous, il en est trois qui résultent de ce préambule et que vous devriez apprendre le plus vite possible… Aucun des trois n’est aisé à acquérir, mais les trois sont essentiels.
Le premier prend ses racines dans cette nouvelle nature humaine narrative et c’est le savoir écrire. Votre pensée ne sera jamais mieux comprise et transmise que si vous l’écrivez. Que ce soit dans un livre ou dans un blog ou encore les pages d’un journal intime, écrire est le savoir-faire le plus humainement déterminant de notre époque. Savoir écrire vous place, d’entrée de jeu, dans une catégorie à part, dans la catégorie de ceux qui ont une opinion et qui l’exprime.
La seconde lui est proche, bien que fort différente, c’est le savoir parler ! Parlez avec talent et vous voilà connecté, interactif, proche des autres et de ce qu’ils représentent en termes de ressources et d’opinions. Le sage le dit : « la guérison est dans l’autre ». Nous ne sommes rien, seuls, et ne pas être seul exige que nous améliorions notre pouvoir de parole, notre aptitude à parler et à être compris.
Enfin, le troisième savoir-faire est celui du changement, du savoir changer. C’est le savoir-faire essentiel au progrès, à l’avancée. Sans cette aptitude, il ne reste que l’immobilisme et le néant. Ce savoir-faire présuppose une compréhension de la situation présente et de la situation désirée et de ce qu’il convient de mettre en action et donc, de ce à quoi il sera nécessaire de renoncer.
Chez Najberg Milne, nous avons la prétention de vous aider et vous accompagner dans l’acquisition de ces savoir-faire. Vous ne ferez pas tout le chemin avec nous, mais vous pouvez compter sur nous pour vous donner l’envie de commencer !
Si nous parlions de confiance en soi et de prise de parole ?
- Le manque de confiance est un traumatisme qui ne se guérit pas avec le mental.
- Sa résolution est surtout pratique.
Notre manque de confiance – ou autrement dit « notre peur de faire certaines choses » – est avant tout un discours très négatif que l’on se tient à propos de soi-même. Il déclenche dès lors des émotions indésirables qui ont des effets physiques très concrets. Si l’on oublie très souvent l’origine de ce soliloque débilitant, on identifie en revanche les circonstances précises qui le favorise. Par exemple : la prise de parole en public. Joint à d’autres symptômes, c’est le genre de fêlures qui ont tendance à fragiliser notre être dans tous les aspects de notre vie, même si ses effets – en genre et en quantité – nous paraissent flous.
Mais il nous est impossible de mettre fin à notre manque de confiance par décret, simplement par la force de notre volonté. Parce qu’elle est déjà ancrée dans la mémoire de nos émotions et de notre corps.
C’est le chemin inverse qu’il nous faut faire : créer une nouvelle mémoire physique et émotionnelle, positive cette fois, qui va signifier au mental la nécessité de modifier son discours. En d’autres termes : pratiquer la prise de parole. C’est-à-dire trouver le courage de faire l’expérience d’une chose que l’on redoute (un petit pas, une action modeste, on ne s’en demandera pas plus pour commencer) et de constater qu’elle se déroule bien. Puis de recommencer.
Chaque jour on élargira le champ et la portée de cette pratique, en s’assurant qu’elle se fasse avec les bonnes techniques et dans de bonnes conditions. Et chaque jour passant, une nouvelle mémoire se créera, imposant petit à petit la certitude que nous en sommes non seulement capable, mais qu’il s’agit de notre nouvelle « normalité ». Et ça, ça s’appelle la confiance en soi.