À la Une
« Ça a changé ma vie ! »
- On dit régulièrement de Captiver & Convaincre qu’il « change la vie » des gens.
- Voici notre avis.
Premièrement : jamais nous n’aurions osé penser telle chose. Ce sont les participants eux-mêmes qui le soutiennent, quand ils le soutiennent. Passés les quelques instants de fierté, nous saisissons la balle au bond : « Ah oui ? Et en quoi ? » Et voici quelques-unes de leurs réponses : « Je me sens libéré ! », « Je n’ai plus peur », « Je n’ai plus honte » « Je me sens boosté, plein d’énergie ! » « J’ai l’impression de pouvoir tout faire » …
Le paradoxe, c’est que notre training est uniquement axé sur la présentation professionnelle. Il n’y a aucun exercice de développement personnel. Quoique. La prise de parole en public touche tellement de compartiments de ce qui constitue un être humain que forcément, sans en avoir l’air, toute la formation devient une expérience particulière.
Car nous abordons la confiance en soi et les symptômes physiques et psychologiques du stress. Nous présentons les ingrédients et le mental de la réussite (dans n’importe quel domaine). Nous travaillons la voix (qui elle-même travaille souvent sur l’émotionnel), le regard et la connexion aux autres, ainsi que la structure du discours (qui se modèle sur les besoins de l’auditoire). Nous pratiquons le renforcement positif et le soin porté à autrui. Tous ces aspects concourent à une prise de parole en excellence. Et quand on embrasse ces valeurs, on en est soi-même changé.
Quoi d’autre?
Nos cerveaux ressemblent beaucoup à ceux d’il y a 70 000 ans !
- Aujourd’hui l’être humain doit faire face à des défis importants.
- Mais son cerveau est à la traîne.
Notre cerveau est le fruit d’une lente et progressive évolution. Il est intéressant de savoir où en est notre cerveau sur l’échelle de l’évolution. Quel est son programme ? Notre monde à évolué à une vitesse particulièrement folle ces dernières décennies… Nous sommes passés de la charrue à la Lune en moins d’un siècle. C’est impressionnant…
Et nos cerveaux ? La réponse à cette question est assez déstabilisante.
S’il vous était possible de remonter dans le temps et de kidnapper un bébé d’une famille d’Homo Sapiens Sapiens d’il y a 70 000 ans, vous ne pourriez pas faire la différence avec un bébé né en 2022 et s’il vous était donné d’éduquer ce bébé jusqu’à l’âge adulte, vous pourriez le voir devenir avocat ou trader…
Ce que cela signifie, c’est que nos cerveaux sont toujours programmés, au moment de notre naissance, comme ils l’étaient il y a 70 000 ans. Programmés pour survivre, pour tenir tête à des tigres à dents de sabre et pour assurer une subsistance au Paléolithique. Nos cerveaux ne sont pas programmés et prêts pour le monde digital, pour Instagram ou pour le Metavers… Ils ne sont pas prêts à répondre au réchauffement climatique et à la collaboration mondiale que cela exigerait. Ils ne sont prêts pour aucun des grands enjeux de demain et ils sont pourtant tout ce que nous avons pour nous en sortir…
Courage..
Qu’y a-t-il pour vous ?
La biologie du stress : un cocktail de cinq hormones
- Le stress est le résultat d’une réaction hormonale en chaîne.
- Cinq hormones différentes entrent en jeu.
Il y a d’abord l’ACTH, ou hormone corticotrope, sécrétée par l’hypophyse, une glande située à la base du cerveau. Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui à leur tour libèrent le cortisol. Le cortisol a pour but de fournir au cerveau un apport en énergie suffisant pour nous préparer à faire face au stress. Il intervient notamment dans la régulation de la tension artérielle, de la fonction cardiovasculaire, de la fonction immunitaire.
Simultanément, l’adrénaline est libérée. Elle prépare l’organisme à répondre au stress : le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent, la pression artérielle augmente. L’ocytocine intervient aussi, notamment au niveau de notre comportement en société. Elle est particulièrement impliquée dans la relation mère-enfant. Et la vasopressine enfin, qui est également appelée hormone antidiurétique. Elle permet de réguler les fonctions urinaires et la pression sanguine. Elle joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété.
Malheureusement, notre système « de survie » ne fait pas la différence entre un tremblement de terre et des bouchons sur la route : dans les deux cas notre stress libère l’adrénaline et le cortisol – pour ne citer qu’elles – qui, à la longue et de manière trop souvent répétée peuvent entraîner des conséquences néfastes. Le cortisol par exemple, envoie un message de faim au cerveau, pour reconstituer les réserves d’énergies. Prise de poids en vue. Et le stress jour après jour peut également contribuer au développement du diabète de type 2, aux problèmes cardiovasculaires, voire à des troubles de mémoire, tous trois liés à la toxicité à long terme de ces hormones à priori indispensable pour le corps humain.
Pour lutter contre le stress et le garder « sous contrôle », le meilleur des remèdes reste encore la respiration. C’est-à-dire, à chaque fois que l’on prend conscience qu’il s’apprête à nous envahir, s’arrêter pour se concentrer sur une respiration la plus profonde et la plus lente possible – abdominale – jusqu’à une tranquillisation générale du corps et de l’esprit. Prendre cinq minutes pour ne penser qu’à ça et ne faire que ça, peut sauver toute une journée.
Sources
Concernant l’article :
- https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/divers-sont-hormones-liees-stress-3069/
- https://fr.chatelaine.com/sante/cortisol-lhormone-meconnue-du-stress/
À propos de la respiration abdominale :